1. |
Panneaux solaires
07:03
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Les panneaux solaires
Les panneaux solaires, sur le building en face
Des paysages de toîts, des paysages de toîts
3073, au milieu du désert
les enfants jouaient dehors
Et l’on se perdait tout le temps
Enfin un endroit, où l’on se perdait tout le temps
Ce que tu fauches puis que tu re-sèmes sans jamais rien redonner
En vain s’épuisent tous les envers de la peau desséchée
Suivre les traces des animaux nous mène de l’autre côté
À Jupiter un rien m’apaise le temps de s’échapper
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2. |
Les commodores
05:01
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Les Commodores
Les commodores le temps leur joue un tour
À l’horizon un énorme pompadour
Avec toutes ses faces jamais les mêmes en retard
Un retour à mieux encore une autre bataille
Du porte-voix les phalanges dans le désordre
Les figurants menacent sans cesse de se mordre
Et reviennent vers moi entrecoupées d’éclairs
Les amoureuses si heureuses à la guerre
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3. |
Les fauves
03:26
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Les fauves
Les fauves, te voient au loin
Sans fautes, sans fin
tout ce qui est neuf, marche nu pied
Et le vent, est un sentier
Les herbes hautes, été pluvieux
toutes tes choses, venimeuses
les chapelets de bombes, châteaux de sable
Et le monde, misérable
Le monde est misérable
Trampolines, en spécial
Roule full-pin, caravane
les chiens maigres, déserts blancs
Et les chemins, bougent tout le temps
Bouge tout le temps
Dans la nuit, elle est partie, elle ne pouvait plus voir dans le noir
Et les cris et la vie, ....
Marche dans les fleurs, marge d’erreur, elle ne pouvait plus voir dans le noir ...
et la vie est repartie, .....
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4. |
So Cold
03:11
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So Cold
You grew so cold
I just had to let go
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5. |
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Feuilles vertes
Les feuilles vertes sont devenues fluorescentes
J’ai du fauve, du prestone sur la langue
Les prismes en formation
je me déroule en oubli - je dis pas
à personne que les clefs sont sous le tapis
avec tout ce qui m’appartient, le temps que j’m'éparpille
je serai mort quatre fois, peut-être plus si j’m'en mêle
les genoux ouverts, fendus, de loin
je serai mort quatre fois, peut-être plus, je serai à même
les fougères si hautes
de mon long, je prends la forme
cent fois ruisselle
la sueur d’hiver et l’effort passé
Se rendre au bout de la terre et perdre patience
j’plains mon équipage de pas s'attendre
au plancher qui s’écartille
La vitesse des semences, j’fais pas
attention à l'électricité, qui tente de m’avertir
que sur moi se referme, tant de nouveaux bruits
je serai mort quatre fois, peut-être plus si j’m'en mêle
les genoux ouverts, fendus, de loin
je serai mort quatre fois, peut-être plus, je serai à même
les fougères si hautes
de mon long, je prends la forme
cent fois ruisselle
la sueur d’hiver et l’effort passé
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(English, merci Google translate, c'est trop beau!)
Green leaves
Green leaves have become fluorescent
I of the Wild, Prestone on language training
prisms I place into oblivion - I say it to anyone
that the keys are under the carpet
with all that is mine,
the j'm'éparpille time that
I am dead four times, maybe more
if j'm'en mixes the knees open,
cracked far
I am dead four times, maybe more,
I'll be even if the ferns
High on my long,
I am a hundred times as trickles of sweat and effort spent winter
Going after the earth and lose my patience
j'plains crew not expect the floor that s'écartille
Speed Seed
j'fais not pay attention to electricity,
which is trying to warn me
that closes on me,
so many new sounds
I'm dead four times, maybe more
if j'm'en mixes the knees open,
split, by far
I am dead four times, maybe more,
I'll be able ferns so tall my long,
I am a hundred times as sweat trickles winter and effort spent
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6. |
Les ruisseaux
04:27
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Les ruisseaux
Les ruisseaux, les châteaux forts
je peux les entendre, je peux les voir
Au sommet, un raccourci
Et mon double, juste derrière me suit
Les glaciers, les glaciers
suspendus à mes côtés
La nuit approche, la nuit approche
Si je dois encore dormir dehors
je pense bien que je ne survivrai pas, Si je dois encore dormir dehors
Comme un rêve, comme un rêve
Une trace dans la neige
le ciel est haut, le ciel est haut
en moi et en dehors de moi, en moi et en dehors de moi, en moi et en dehors de moi
Tout vire or, les ombres s’étirent
mais enfin, mais enfin j’arrive
ce qui ne se peut pas, les orteils noirs
Mais enfin, juste avant le soir
C’est une voix que je connais bien, qui m’appelle, qui m’appelle
C’est une voix que je connais bien, est-ce la mienne, est-ce la mienne
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7. |
Shtrob
04:43
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8. |
Une fenêtre
03:35
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Une fenêtre
Sur l’arête
Sur l’épaule
Le cirque toujours en bas
Si t’arrêtes
puis que tu te reposes
tout le monde dit que tu te réveilleras pas
Exactement
où les masses se rejoignent
je suis parti en avant
On s’est revu
un jour de fête
Te manquait juste ta tête ton fémur droit
On a attendu une fenêtre
Qui est jamais arrivée
On est repartis dans la tempête
Jamais arrivée
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Moussette
Moussette est un groupe basé à Montréal / Moussette is a band based in Montreal
Contact : mr_moussette@yahoo.com
Photos (médias) : flic.kr/s/aHskBFwWTx
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